Durée 50'
Précédé par Le défi de la parole, débat-rencontre à 17h30
Rue de la Serre 68 | Dès 16 ans | Salle accessible aux personnes en situation de handicap | 20.- / 15.- (débat + spectacle) réservations :
+41 79 643 95 32 | Avertissement relatif au sujet : violence sexuelle intra-familiale
Lorsque la danse libère… Dans un appel à la vérité désormais plus fort que les tabous, la parole se libère avec le mouvement #Me Too en lien à l’abus sexuel, y compris à travers la création artistique. L’ADN donne la parole sur scène et au cours de deux rencontres sociétales (24 avril) et (25 avril), aux créations respectives de deux artistes neuchâteloi·es, Teresa Larraga (21 au 30 avril) et Bastien Hippocrate (24 avril), pour parler de processus de réparation grâce à l’art pour l’une, et pour l’autre, du risque de la prise de parole.
Une performance cash et engagée. Une lettre d’amour pour qui ne peut pas parler, ne veut pas parler et surtout ne veut pas voir.
Dire l’inceste avec la danse. De sa propre expérience, Bastien Hippocrate a choisi de réaliser LoveLettersOrNot. Une performance autofictionnelle créée dans le cadre du festival Les Urbaines à Lausanne. Une lettre d’amour pour celles et ceux qui ne peuvent pas parler, ne veulent pas parler et surtout pour qui ne veut pas voir.
Bastien Hippocrate, né à La Chaux-de-Fonds, queer, afrodescendant·e, immigré·e de deuxième génération iel découvre la scène par le théâtre, puis se forme en patinage artistique. Après un Bachelor en danse contemporaine à La Manufacture, Haute Ecole des arts de la scène de Lausanne, il créée des performances immersives et lyriques porteuses d’un message "cash", bien au-delà de sa propre histoire.
Concept et performance Bastien Hippocrate Dramaturgie Sélima Chibout Lumière et régie Gaël Chapuis Photo © Cynthia Mai Ammann